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22 000 postes à pourvoir dans les transports, un chiffre qui continue de flamber – Décider et Entreprendre

Lancée à la rentrée 2017, l’initiative « TREMPLIN » lancée par les acteurs des transports dévoile ses premiers résultats. Après deux mois d’enquête, on dénombre déjà 22 963 postes à pourvoir. Le résultat de cette mobilisation montre une nouvelle fois le manque d’attractivité auquel le secteur fait face.

 

Le lancement de la plateforme en ligne « TREMPLIN », dont nous vous avions déjà parlé, a pour objectif de lutter contre les problèmes de recrutement face aux offres d’emploi qui abondent. A l’origine de cette initiative, des acteurs du secteurs comme l’Union TLF (Entreprises Transport et Logistique de France) ou encore la Fédération Nationale des Transports de Voyageurs.

L’enquête a duré du 22 septembre au 10 novembre 2017 pour recenser les besoins des entreprises. Résultat : plus de 22 000 postes sont à pourvoir parmi les 1 666 entreprises qui ont répondu à l’enquête

 

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1 782 postes en transport-logistique à pourvoir en urgence dans les Hauts-de-France – La Voix du Nord

On connaît les difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises de transport et de logistique. Un besoin encore accru dans notre région, première de France dans cette filière qui fait travailler plus de 68 000 salariés.

Au niveau national, 22 363 besoins de recrutement ont été recensés par le dispositif Tremplin (TRansport EMploi Innovation), lancé en septembre dernier par les organisations professionnelles de la branche (FNTR, Union TLF, FNTV, CSD et Unostra). Cette initiative se veut une grande mobilisation en faveur de l’emploi, du recrutement et de l’attractivité des métiers dans le transport routier de marchandises, de voyageurs, de la logistique et du déménagement.

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Bodilis. Les transporteurs manquent de chauffeurs routiers

Le secteur souffre de la pénurie de conducteurs. Pour y remédier, l’École de conduite française (ECF), installée à La Croix des Maltotiers à Bodilis, propose des formations aux demandeurs d’emploi.

Depuis plusieurs mois, le transport routier et le transport de voyageurs n’arrivent plus à recruter des chauffeurs. « Plusieurs dizaines de milliers de postes sont à pourvoir au niveau national, indique la Fédération nationale des transports routiers. Des entreprises sont même obligées de refuser des marchés ! »

Le métier a longtemps souffert de son manque d’attractivité du métier et la crise a entraîné un gel des recrutements. Mais aujourd’hui, l’activité redémarre et les transporteurs cherchent à embaucher. Mais pour l’instant, les candidats font défaut.

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Manche : des permis de chauffeurs routiers financés par la Région

La Région Normandie et la société de transport Jourdan, basée à Saint-Hilaire-du-Harcouët (Manche), lancent un programme de formation qualifiante au métier de conducteur routier pour dix demandeurs d’emploi. Ils seront embauchés par la suite. Une réunion d’information est prévue ce lundi 27 novembre 2017.

Des permis de chauffeurs routiers, à destination de demandeurs d’emploi, seront financés par la Région Normandie. Les personnes seront formées par la société de transport Jourdan, installée à Saint-Hilaire-du-Harcouët (Manche).

Dix conducteurs routiers recherchés

L’entreprise recherche actuellement dix conducteurs routiers régionaux et nationaux dans le cadre du développement de son activité. « La tension actuelle du marché du travail, et aussi paradoxal que cela puisse paraître, conduit à ce que bon nombre d’entreprises ne trouvent pas de personnes qualifiées pour occuper les postes qu’elles proposent », explique la société Jourdan transport & solutions.

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Vous supportez le stress et les horaires compliqués? Un secteur cherche des milliers de travailleurs – RTL Info

 

Il manque entre 3.000 et 5.000 chauffeurs routiers en Belgique, pour un parc de 150.000 camions. En 12 mois, les services d’aide à l’emploi ont enregistré une augmentation de 34% des offres d’emploi dans le secteur du transport routier. 80% des employeurs n’ont pas assez de chauffeurs et 40% des conducteurs en activité ont plus de 50 ans.

 

 

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Edition de Besançon | Transport routier : 600 emplois à pourvoir

Source : Edition de Besançon | Transport routier : 600 emplois à pourvoir

Il semblerait que le plus court chemin vers l’emploi se fasse en poids lourd. Alors, en cabine !

Pleins phares sur les salaires, justement. « 2 500 € nets pour 56 heures hebdomadaires de temps de service, primes comprises, pour un grand routier, c’est-à-dire un chauffeur qui roule à l’international. » Avec une contrainte attelée à la fonction : la possibilité de découcher au moins six nuits. « Pour schématiser, il y a dix ans, tout le monde se battait pour partir à l’étranger. Aujourd’hui, avec l’évolution de la société, les personnes veulent rentrer tous les soirs ou les deux soirs », reconnaît Sylvain Sanchez.

Emploi : cherche routiers désespérément

La route est leur métier et celui-ci a aussi bien changé. Il est revenu sous les feux de l’actualité lorsque nos dirigeants ont causé des travailleurs détachés. Un principe qui va être réformé. Mais pas dans le secteur du transport routier. Une mise à l’écart qui trahit une réelle pénurie de main-d’œuvre. Qui est même qualifiée d’inquiétante par les professionnels.

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C’est mon boulot. Les routiers : comment la profession a changé au cours de ces dernières années

Des routiers mènent des actions lundi contre la réforme du Code du travail. L’occasion de dresser un portrait de cette profession qui a beaucoup changé au cours de ces dernières années.

 

Le métier de routier a beaucoup changé au cours de ces dernières années. Fini le mythe du routier qui partait des semaines entières pour rallier Moscou, Kaboul ou qui sillonnait les routes de l’Inde. Aujourd’hui, les routiers français sont cantonnés dans l’hexagone. Ils ont perdu la bataille du « Grand international » dans les années 1990, ainsi que celle de l’Europe proche dans les années 2000.

La profession fait moins rêver

Elle attire moins les jeunes. Il manque 17 000 chauffeurs routiers en France, d’après la CFDT Transports. En plus de la raréfaction des grands déplacements, le métier ne paye pas très bien : 2 200 euros par mois, primes comprises. Mais quand même jusqu’à 3 000 euros avec les heures supplémentaires, d’après un chauffeur routier que nous avons interrogé. Cela donne pour le routier français le meilleur salaire d’Europe, juste derrière les Belges. Mais un chauffeur des pays de l’Est ne va percevoir que 1 200 à 1 500 euros par mois.

Des situations de stress

Au-delà des problèmes d’argent, il y a aussi un stress qui fait fuir les routiers. Thierry de Saulieu, qui dirige Apis, une agence de presse spécialisée dans les transports explique ce phénomène. Les routiers sont angoissés par les risques de se faire braquer ou siphonner le gas-oil sur les aires de repos, dit-il. Ils sont aussi attaqués par la concurrence de chauffeurs de l’Est ou….

 

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